mercredi 14 août 2013

COACHING - Pour développer l'abondance matérielle, faites la paix avec l'argent :)

Anthony Robbins est son mentor.   
Roger Lannoy, dans sa vidéo, parle de 7 "maladies" qui empêchent l'abondance, l'aisance financière, et qui sont le reflet et la cause, pour 90% des gens, de notre mauvais rapport à l'argent.

Voici ces 7 maladies : être atteint(e) d'une seule d'entre elles limite notre accès à l'abondance et à l'aisance financière! Faites le test, où en êtes-vous, vous?

1 - Je n'aime pas l'argent!
... Donc pourquoi l'argent m'aimerait-il? Si je ne prends pas soin de l'abondance, elle ne viendra pas à moi :) ! Avoir des croyances négatives, limitantes, bloquantes par rapport à avoir beaucoup d'argent. Ex: "les gens riches sont des voleurs, qui font leur richesse sur le dos des autres", 'on tue pour l'argent", "on m'aimerait pour mon argent, pas pour moi", etc...
A bien y regarder, ces croyances peuvent être facilement démontées si on les analyse!!! Ex : On ne vole pas parce qu'on a trop d'argent, mais parce qu'on en a trop peu; libre à nous de le gagner honnêtement; il y a les gens qui m'aiment vraiment et ceux qui sont intéressés, ce ne sont pas les mêmes...

2 - Estimer que être dans l'abondance n'est pas un must, une priorité dans ma vie. 
... Je vaut mieux que ça, c'est bien si c'est là, c'est aussi bien si ce n'est pas le cas... Je n'investis donc pas ou peu d'énergie pour m'ouvrir à l'abondance.
M'ouvrir à l'abondance commence par laisser le flux d'argent circuler!!! Par peur de manquer, je gratte, je mets de côté, je compte, j'essaie de faire un max avec un minimum d'argent. J'investis finalement plus d'énergie à économiser mon argent qu'à en gagner!

 3 - N'avoir aucun plan ni stratégie pour réussir...
 Vivre en mode "je gère mon budget au jour le jour, à chaque jour suffit sa peine" ou "je cherche des opportunités de faire de gros coups ponctuels"... ;) plutôt que de penser en termes de vision financière à un an voire plus.

4 - J'ai un plan mais à la moindre embûche, je l'abandonne.
 ... Parce que je manque de constance, d'endurance, de courage, d'assurance, de conviction.
Attention, il est essentiel pour garder la motivation de m'assurer que mon plan est en concordance avec mes élans existentiels (ce qui a du sens pour moi), mes talents, mes capacités et ce qui me motive!!!

5 - Je me réfère à des "experts"...
Comme ça je remets mon pouvoir d'abondance dans les mains d'un autre, sans culpabilité!!! Parfois, je ne vérifie même pas que mon abondance est entre de bonnes mains, car le principal pour moi, c'est de me débarrasser de cette tâche!!!
Stoooooooop! Faites-vous accompagner si vous le désirez (parfois ça fait moins peur) mais l'objectif : c'est oser regarder votre situation financière... à la loupe!!! C'est VOTRE situation financière, celle de personne d'autre!

6 - J'ai une tendance à la complaisance, j'aime la facilité...
... ou plutôt, je ne suis pas dérangé(e) d'être dans la médiocrité, la paresse !!!

7 - Je m'abandonne.
Je suis un(e) faible, je laisse la crise financière se transformer en ruine... Après tout, je le savais que je ne vaut rien : la preuve... Je peux aussi m'illusionner de pensées magiques (l'univers va s'occuper de moi).
Il faut choisir son camp! Face aux embûches ou à la crise, les gagnants n'abandonnent pas.
Ils considèrent la crise comme une opportunité de grandir, d'évoluer, de se transcender.
La crise les invite à aller chercher l'étape suivante, à se dépasser et atteindre un palier supérieur... car ce qui ne les fait pas mourir les rend plus forts.

N'oublions pas : c'est à nous de choisir, en conscience :)
En empruntant les mêmes routes, on ne peut arriver qu'à la même destination.
A chacun de nous de décider où il veut aller...

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Bon, j'aime pas trop son style je dois avouer, mais pour ceux qui ont envie d'écouter Roger Lannoy : http://www.youtube.com/watch?v=KESqWY30PhM

dimanche 11 août 2013

COACHING - Le temps c'est de l'amour... Etes-vous capable de ralentir et profiter de la vie?

L'art de vivre sa vie, sa parentalité, ses relations : un magnifique article de Rachel Macy Stafford, Professeur d'éducation spécialisée...

 "Le jour où j'ai cessé de dire "Dépêche-toi"

Publication: 09/08/2013 06h36
Hurry Up

Chaque minute compte dans nos vies modernes et effrénées. On a constamment l'impression qu'on doit cocher quelque chose de notre to do list (choses à faire), qu'on doit vérifier un écran ou un autre ou se presser pour se rendre à notre prochaine destination. Et peu importe comment on divise notre temps et notre attention, peu importe combien de tâches on tente d'accomplir simultanément, on finit toujours par avoir l'impression qu'il n'y a pas assez d'heures dans une journée pour arriver à tout faire.
Ainsi allait ma vie pendant deux années totalement frénétiques. Mes pensées et mes actions étaient régies par des notifications électroniques, des sonneries et des agendas surchargés. Même si mon sergent intérieur s'était donné comme objectif de toujours être à l'heure, je n'y arrivais simplement pas.

C'est que, voyez-vous, la vie m'a fait cadeau, il y a déjà six ans, d'une adorable enfant du type je-prends-mon-temps-rien-ne-presse-regarde-maman-les-jolies-fleurs-tu-veux-les-sentir?
Lorsque nous devions quitter la maison en cata, elle prenait tout son temps pour se choisir un sac à main et une tiare.
Lorsque nous devions aller quelque part à cinq minutes, elle insistait pour prendre le temps de bien boucler la ceinture de sécurité de sa peluche.
Lorsque nous devions prendre le déjeuner sur le pouce, elle prenait tout son temps pour faire la conversation à la dame à côté de nous qui lui rappelait sa mère-grand.
Lorsque, par chance, j'avais le loisir de trouver 30 minutes pour un petit jogging, elle insistait pour que nous nous arrêtions à chaque chien que nous croisions afin de lui faire un câlin.
Lorsque le premier rendez-vous à mon agenda était à 6 heures du matin, elle prenait tout son temps pour battre les oeufs aussi doucement que possible.
Mon enfant était, pour ma personnalité de Type A, une bénédiction, mais je ne m'en rendais pas compte. Bien sûr que je ne m'en rendais pas compte: quand on mène ce genre de vie effrénée, on a une vision très limitée uniquement tournée vers l'avenir, et tout ce qui ne fait pas partie d'une to do list nous semble superflu et inutile.
Quand ma fille m'obligeait à dévier de mon agenda, je me disais intérieurement "On n'a pas le temps pour ces peccadilles". Conséquemment, les deux mots que je disais le plus à mon petit ange dans une journée type étaient "dépêche-toi".

Mes phrases commençaient par ces deux mots:
Dépêche-toi, on va être en retard.
Mes phrases se terminaient par ces deux mots:
On va tout rater si tu ne te dépêches pas
Je commençais mes journées avec ces deux mots:
Dépêche-toi à manger ton petit déjeuner.
Dépêche-toi de t'habiller.
Je terminais mes journées avec ces deux mots:
Dépêche-toi à te brosser les dents.
Dépêche-toi à te mettre au lit.

Même si, de toute évidence, ces mots ne rendaient aucunement l'exécution des tâches à accomplir plus rapide, je persistais à les prononcer. Le plus effrayant, c'est que je les prononçais plus souvent que les mots "je t'aime"... La vérité fait mal, mais la vérité guérit, aussi... et elle me rapproche de la maman que je veux être.

Puis, un jour, tout a changé. Nous venions tout juste d'aller chercher notre aînée à la garderie et nous sortions de notre voiture. Trouvant que sa petite soeur n'allait pas assez vite, elle lui a lancé: "tu es tellement lente". Puis, elle a croisé les bras et soupiré avec une exaspération qui m'a fendu le coeur.
J'ai pris conscience de mon propre comportement: j'étais un tyran qui bousculait constamment une enfant, dont le seul désir était de prendre le temps d'aimer la vie.

Et à cet instant, j'ai réalisé à quel point ma propre vie effrénée était néfaste non seulement pour moi, mais pour mes deux filles également.

La voix tremblotante, j'ai rivé mes yeux à ceux de ma cadette, et je lui ai dit: "Je te demande pardon de t'avoir constamment bousculé jusqu'à aujourd'hui. J'aime que tu prennes ton temps et je veux apprendre à être comme toi le plus souvent possible."
Mes deux filles furent tout aussi surprises l'une que l'autre de cet aveu inattendu, mais celui de la plus jeune avait, en plus de la surprise, l'air de quelqu'un à qui on vient de donner raison et qui en jouit intérieurement.
"Je te promets d'être plus patiente à partir d'aujourd'hui", lui dis-je en la serrant dans mes bras tandis qu'elle rayonnait littéralement à la simple idée de cette promesse que je venais de lui faire.
Rayer les mots "dépêche-toi" de mon vocabulaire fut simplissime, mais ce qui fut considérablement plus difficile, ç'a été d'acquérir la patience que j'avais promise à cette enfant. Afin de nous venir en aide à toutes les deux, j'ai commencé à lui accorder plus de temps pour se préparer si nous devions nous rendre quelque part. Malgré cela, nous étions encore souvent en retard. Dans ces moments, je me rassurais en me disant que ça ne durerait que quelques années encore, le temps qu'elle vieillisse.

Lorsque ma fille et moi marchions ou allions au magasin, je la laissais dicter le pas, et lorsqu'elle s'arrêtait pour admirer quelques choses, je taisais toutes les pensées reliées à mon sacro-saint agenda afin de simplement l'observer et profiter du moment. Je voyais sur son visage des expressions que je n'avais jamais même aperçues auparavant. J'admirais les fossettes sur ses petites mains potelées et la façon dont ses yeux avaient de se plisser lorsqu'elle souriait. J'ai pris conscience de la façon dont les gens prenaient leur temps pour lui répondre lorsqu'elle s'adressait à eux. J'ai découvert son talent pour voir de jolis insectes et de mignonnes fleurs. C'était une observatrice et j'ai rapidement découvert que les observateurs sont des gens rares et précieux. C'est ainsi que j'ai compris que ma fille était une bénédiction pour mon âme frénétique.

Ma promesse de ralentir la cadence a été faite il y a bientôt trois ans, en même temps que j'ai entrepris mon périple vers l'abandon des distractions quotidiennes et la concentration sur ce qui compte vraiment. Aucun doute, cependant: vivre à une vitesse "petit v" me demande encore un effort de tous les instants. Ma cadette est le mémento quotidien qui me sert à ne pas perdre mon objectif de vue. En fait, voici un bel exemple des petites choses qu'elle fait ou dit qui me le rappellent quotidiennement.
Pendant nos vacances, nous étions allées nous régaler d'une granita après une petite balade en vélo. Après avoir payé pour notre friandise glacée, elle s'est installée à une table de pique-nique et regardait avec admiration la montagne de glace et de sirop devant elle, puis elle m'a regardé avec un peu d'angoisse et m'a demandé: "Maman, est-ce que je dois me dépêcher?"

J'ai failli fondre en larme. Apparemment, les cicatrices d'une vie effrénée s'estompent, mais ne disparaissent pas complètement. Tandis qu'elle attendait que je lui réponde, je savais que j'avais un choix à faire: je pouvais me morfondre en pensant au nombre de fois que je l'avais bousculée dans sa courte vie... ou je pouvais profiter pleinement du fait que, désormais, je fais les choses différemment.
Et j'ai choisi de vivre l'instant présent.

"Tu n'as pas à te presser, ma chérie. Prends tout ton temps", lui ai-je doucement répondu. Son visage s'est illuminé et ses épaules sont tombées de soulagement.
Puis, nous nous sommes assises côte à côte et avons discuté des choses dont discutent les petites joueuses de ukulélé âgées de 6 ans. Nous avons même profité de longs moments de silence pendant lesquels nous nous contentions de nous sourire et d'admirer le paysage.

J'avais l'impression que ma fille allait dévorer tout son immense granita, mais lorsqu'elle est arrivée à la dernière bouchée, elle me l'a tendue et a dit avec fierté: "je t'ai gardé la dernière bouchée juste pour toi, maman". Jamais de la glace pilée n'aura été aussi bonne, et je me suis rendue compte que je venais de conclure le marché du siècle. J'ai accordé un peu de temps à ma fille, et en retour, elle m'a donné la dernière bouchée de sa friandise et m'a rappelé que les choses ont meilleur goût et que l'amour s'épanouit bien mieux lorsqu'on prend le temps de prendre le temps.

Que ce soit pour...
Manger une granita
Cueillir une fleur
Boucler une ceinture de sécurité
Casser un oeuf
Chasser les coquillages
Observer les coccinelles
Déambuler sur le trottoir

Je ne dirai plus jamais "nous n'avons pas le temps", parce qu'en fin de compte, c'est comme si on disait "nous n'avons pas le temps de vivre".
Prendre le temps de savourer les petites joies du quotidien est la seule façon de pleinement profiter de la vie. Et croyez-moi, j'ai appris cette leçon de l'experte mondiale dans le domaine de profiter-pleinement-de-la-vie!"

> http://www.huffingtonpost.fr/rachel-macy-stafford/jour-cesse-dire-depeche-toi_b_3730089.html?ncid=edlinkusaolp00000009&ir=France

jeudi 8 août 2013

COACHING - lâcher les mauvaises habitudes qui tuent le bonheur.

Dans notre quête du bonheur, trop souvent, nous mettons nous-mêmes des obstacles sur notre propre chemin. Elite Daily a énuméré 15 habitudes que les gens peuvent avoir, et qui ruinent leur propre bonheur:

✔ Le commérage. Si vous êtes heureux avec votre propre vie, pourquoi se soucier de ce qui se passe chez les autres ?  La seule chose que cette habitude produit, c’est de vous donner l’air piteux et jaloux.
✔ Se mêler des problèmes des autres. Les gens qui ne peuvent pas s'empêcher d'interférer avec les affaires des autres le font souvent parce qu’ils souffrent du vide de leur existence, qu’ils cherchent à combler de cette manière.
✔ Penser négativement. Certains passent leur temps à se plaindre de tout et de tout le monde, tandis que d’autres, plus optimistes, voient toujours le verre à moitié plein. Se concentrer sur le positif permet de se sentir heureux.
✔ La jalousie. Les gens heureux ne se comparent pas avec les autres parce qu’ils se satisfont de ce qu’ils ont et ils prennent du plaisir à célébrer les réussites de leurs amis.
✔ Rechercher l'approbation des autres. Les gens heureux n’ont pas besoin que les autres leur reconfirment leur valeur personnelle. Ils savent ce qu’ils valent et ils ne se soumettent pas aux attentes des autres, ce qui leur permet de se concentrer sur leur développement personnel.
✔ La vengeance. Au lieu de chercher la vengeance, les gens heureux essayent de solutionner le problème et de l’oublier. La meilleure vengeance est de vivre une bonne vie.
✔ Garder du ressentiment. La seule chose que l’on gagne avec le ressentiment, c’est l’augmentation de sa propre tristesse. Apprenez à lâcher prise, spécialement pour les choses que vous ne pouvez pas changer, et qui appartiennent au passé.
✔ Vouloir avoir raison à tout prix. Exposez votre point de vue de manière respectueuse et écoutez celui des autres. En discutant indéfiniment pour essayer de convaincre les autres, vous ne faites que tenter de redorer votre ego. Cessez d’imposer votre point de vue, ou de croire que vous savez mieux que les autres : chacun vient de quelque part.
✔ Avoir des attentes sur les autres. Un des plus grands défis de l’existence est d’accepter les gens tels qu’ils sont réellement. Vous vous sentirez plus serein lorsque vous comprendrez que vous ne pouvez pas changer les gens.
✔ Ignorer les problèmes personnels, faire l'autruche :). Seuls les gens malheureux ignorent les problèmes quand ils surviennent. Malheureusement, plus vous ignorez le problème, et plus il devient important.
✔ Croire que le bonheur est ailleurs. Le vrai bonheur est ici et en vous. Vous seul avez le pouvoir de voir les choses sous un angle positif. Aucune possession matérielle ou relation humaine ne peut vous rendre heureux si vous n'êtes pas déjà satisfait avec vous-même.
✔ Trop réfléchir, tout décortiquer. L’excès de réflexion produit des problèmes à partir de rien et mène à des désaccords entre les personnes. Sur-analyser les situations et les évènements ne conduit qu’à produire du stress et de l’anxiété, et jamais de décisions rationnelles.
✔ Vivre dans le passé. Le passé est le passé et vous pouvez plus changer quoi que ce soit. C’est dans le présent et l’avenir que l’on peut construire son bonheur.
✔ Suivre le troupeau. Les gens heureux ont confiance en eux. Ils ne sont pas des suiveurs, mais plutôt des guides.
✔ Prendre les choses personnellement. Lorsqu’une personne vous adresse un commentaire, sachez prendre du recul, et éviter de sur-analyser ce qu’elle vient de dire, mais laissez-la plutôt expliquer sont point de vue. C’est à vous de décider comment vous interprétez la critique. Pensez à ce que vous pourriez apprendre en examinant les choses sous un angle différent du vôtre, lorsque vous considérez que les critiques sont constructives.