lundi 14 mai 2012

ACTUALITE : samedi 26 mai à Hélécine (Belgique)

Je souhaite laisser la place à ceci qui me semble être une très jolie initiative :) :

"Une journée pour vivre ensemble découvertes créatives, bien être et partages de soi !

Chères « mères » veilleuses Femmes,

C'est avec beaucoup de joie qu’Isabelle et Ludivine vous invitent à cette première édition, baptisée pour l'occasion, "Wakatawin".
Derrière ce mot sioux rayonne les symboles du rassemblement et de la féminité.

Cette journée se veut être un moment privilégié pour femmes où nous vous proposons de découvrir gratuitement différents ateliers animés par différentes intervenantes dont les objectifs sont d'aller à la rencontre de soi et de son bien être.

De nombreuses approches dans ce sens existent et parfois, on est un peu perdue face au large choix, on n'ose pas toujours faire le pas, certains termes utilisés interrogent ou encore on n’a pas toujours le temps de découvrir. C'est pourquoi, nous souhaitons rassembler ces différentes approches sur une journée et vous laisser en toute liberté choisir l'atelier qui attise votre curiosité, qui vous donne envie ou que vous voulez approfondir. Et pourquoi pas tout simplement le plaisir de se retrouver !

Nous avons choisis précieusement les différentes intervenantes pour cette journée. Ces femmes nous touchent, elles font parties de notre entourage et ce sont pour la plupart des amies de cœur. Nous connaissons les différentes approches qu'elles proposent et pour en avoir fait l'expérience ou en faire encore l’expérience, ces approches améliorent notre qualité de vie. Autant vous les faire partager !

Bien que la femme soit au centre de cette journée, nous vous encourageons à venir même accompagnée de vos enfants. Nous vous accueillons dans un cadre verdoyant et sécurisé où les enfants pourront jouer ensemble. Un espace leur sera dédié et un atelier terre glaise sera animé pour eux.

Infos pratiques :
Les différents ateliers : Végétarisme et atelier culinaire, biologie totale, massages énergétiques, réflexologie plantaire, aromathérapie, hypnose, constellation familiale, expansion de conscience, Tarot de Marseille, méditation dynamique par le son et expression musicale.
Quand : samedi 26 mai dès 10h où vous pourrez-vous inscrire sur place aux ateliers de votre choix. Où : A l’école des filles de Linsmeau : rue du centre, 1 à 1357 Hélécine.
Combien : 5€ pour participer aux frais inhérents à l'occupation du lieu. Les intervenantes nous font la générosité d'animer leurs ateliers gratuitement.
Repas : Auberge espagnole. Venez accompagner d’un plat salé et d’un plat sucré pour 4 personnes que l'on partagera ensemble. Prévoyez récipients et couverts pour votre plat. Nous prévoyons la vaisselle et les couverts pour le repas.
Matériel : Si vous désirez vous mettre à l'aise ou encore participer à l'une ou l'autre méditation, veuillez prévoir couvertures, tapis, zafu ou coussin de méditation. Bienvenu également aux instruments de musique !
Free fringue troc partie : Venez avec vos vêtements et ceux de vos enfants que vous ne mettez plus afin de les échanger sur place. Merci d’apporter des vêtements en bon état !
Infos et réservations : Veuillez nous prévenir de votre venue et du nombre de personne qui vous accompagne (les places sont limitées) afin d'organiser avec succès cette journée :

=> wakatawin@gmail.com
=> Isabelle Decroupette : 0484 74 32 73
=> Ludivine Leemans : 0492 55 35 64

ATTENTION : Nous sommes tributaire du temps et cette journée peut avoir lieu uniquement si il fait sec et ensoleillé. Une partie des activités se déroule à l'extérieur. Veuillez vérifier avec les organisatrices, au cas où il y a un doute, que la journée se déroulera bien. Merci pour votre compréhension.

En dehors de cette journée Wakatawin, sachez que les chants du cœur, animé par Bernard Tabanous, s'installeront ce même samedi et en ce même lieu de 18h à 19h. Il s'agit d'improvisations spontanées à partir de tonalités émises par l'un(e) ou l'autre d'entre nous. Il s'en suit une montée en intensité extrêmement puissante. Ouvert à tous le monde. Prévoir également couverture, tapis ou coussin de méditation. Nous ferons une collecte à la fin de notre soirée afin de participer aux frais du lieu. Aucune autre participation ne vous sera demandée si ce n'est un thermos de thé et quelques fruits secs ou biscuits que nous partagerons ensemble après les chants.

Nous vous attendons nombreuses. Pensez à en parler à vos amies, vos mamans, vos cousines, vos voisines…

Nous nous réjouissons de vous rencontrer !
A bientôt,

Isabelle et Ludivine"

lundi 7 mai 2012

COACHING : confiance en l'avenir = confiance en soi :)

"Il n’est pas toujours facile de rester optimiste devant l’inconnu, n’est-ce pas? Non, il n’est pas évident d’avoir confiance en l’avenir, sachant qu’il est imprévisible par définition. Particulièrement lorsqu’on vient de vivre une déception.

Or, je réalise de plus en plus que la confiance en l’avenir n’est pas une confiance en l’avenir, en réalité, mais une forme de confiance en nous; la confiance que l’on fera tout ce qui est en notre pouvoir pour concrétiser nos belles visions… et la confiance en notre capacité de dire non à ce qui ne leur correspond pas.
Car au fond, on ne peut qu’être serein devant l’avenir lorsqu’on sait qu’on avancera toujours du mieux qu’on le peut vers ce que l’on veut vraiment et que l’on ne choisira jamais une maison, un emploi, un partenaire de vie, ou une paire de jeans qui ne nous sied pas comme un gant.

Ainsi, pouvez-vous compter sur vous-même? Pouvez-vous compter sur le fait que vous serez à votre écoute et que vous résisterez à la tentation de dire oui à la première option acceptable qui présentera le bout de son nez (ou de sa porte d’entrée)? Et si vous n’y êtes pas tout à fait, que diriez-vous de cultiver cet engagement… de vous faire la promesse que vous attendrez et persisterez jusqu’à ce que vous ayez exactement ce que vous voulez – ou quelque chose d'équivalent? Je ne sais pas ce que vous en pensez, mais il me semble que le simple fait d’y penser est incroyablement apaisant…

La question est donc : à quel point êtes-vous déterminé à être comblé? Car en fin de compte, l’avenir sera toujours de votre côté si vous l’êtes en premier…

Passez une belle journée, et une délicieuse semaine!

Pssssst: Merci de partager la magie avec vos proches! D'ailleurs, si vous recevez ce e-mail d’un ami qui a eu la gentillesse de le partager avec vous, notez que vous pouvez vous abonner sans frais à Matin Magique sur http://www.matinmagique.com et recevoir de petites doses de magie – comme ce message – du lundi au vendredi. Je serais ravie de vous accueillir dans la grande famille magique. :-)

Vous pouvez partager ce message sur Twitter ou avec vos amis Facebook en les invitant à aller le lire à cette adresse: http://matinmagique.com/mai7.html"

Extrait de Matin Magique

mardi 1 mai 2012

COACHING : un esprit sain dans un corps sain... :)


Se reposer pour guérir vraiment...
de
Jean-Jacques Crevecoeur

"Pendant mon enfance et mon adolescence, j’ai connu de nombreuses périodes de maladie. À chaque fois, le même rituel se mettait en place. Mes parents appelaient le médecin de famille qui se précipitait à mon chevet pour m’ausculter, m’examiner, prendre ma température, mesurer mon pouls, écouter le souffle de ma respiration, palper mes viscères… Presque toujours, la visite se terminait par une prescription (antibiotiques, sirops, médicaments) et par la même recommandation : « Surtout du repos, mon ami ! »
À partir de là, je passais de longues heures à lire ou à dormir, en attendant que les remèdes salvateurs fassent leur effet. Je pensais, à cette époque, que seuls les médicaments pouvaient me venir en aide, et que la recommandation de rester couché ne trouvait son sens que pour leur donner le temps d’agir.
Quarante ans plus tard, je constate que de plus en plus de patients sont devenus… impatients ! « Docteur, je suis malade. Guérissez-moi vite, et donnez-moi aussi quelque chose pour que je puisse retourner au travail aussitôt que possible. Je n’ai pas le temps d’être malade, moi » est une demande que beaucoup de médecins reçoivent dans leur cabinet aujourd’hui… 

C’est ainsi qu’aux remèdes prescrits vient s’ajouter souvent un supplément vitaminé, un remède pour stimuler, pour booster, pour « réénergiser » notre organisme le mieux et le plus vite possible… Même ceux qui se soignent par les approches naturelles tombent souvent dans ce piège de la performance. À l’expérience, je suis convaincu que cette tendance ne relève ni du progrès, ni du bon sens. Pire, elle constitue probablement une des attitudes les plus contraires aux besoins de notre corps.

Les mécanismes de l’homéostasie
Pour comprendre mon propos, retournons à la physiologie du corps. Depuis le début de cette rubrique, je vous parle de santé et de maladie en termes d’équilibre et de déséquilibre. Souvenez-vous, dans le numéro 1 de Néosanté, je vous proposais cette image de la maison comme représentation allégorique du corps. Lorsqu’il accumule ses poubelles, notre corps s’éloigne de l’équilibre, son stress intérieur augmente, et aucun symptôme n’est visible. Par contre, lorsqu’il se débarrasse de ses poubelles, son stress diminue et tous les symptômes morbides apparaissent : fièvre, éruptions, écoulements, etc.
En médecine chinoise, la phase où le corps s’éloigne de l’équilibre, accumule du stress et n’exprime aucun symptôme est nommée la phase froide de la maladie. Celle où le corps revient vers l’équilibre en lâchant le stress et en sortant ses poubelles est appelée la phase chaude de la maladie. Cette observation faite par les Chinois depuis plus de 2.500 ans, la physiologie moderne la redécouvre progressivement depuis un peu plus d’un siècle, sans pour autant en exploiter toutes les possibilités. Claude Bernard (1813-1878), le fondateur de la médecine expérimentale, avait défini l’homéostasie comme « la capacité d’un système à conserver son équilibre de fonctionnement en dépit des contraintes extérieures ». Mais les mécanismes impliqués étaient, à l’époque, très difficiles à déterminer. C’est en 1903 que John N. Langley (1852-1925) introduit la notion de système nerveux autonome pour décrire la composante du système nerveux en charge de notre homéostasie. Il le qualifie d’autonome simplement parce que cette partie du système échappe complètement à notre volonté consciente.
Sans entrer dans des détails qui dépasseraient de loin le cadre de cette rubrique, retenons que le système nerveux autonome se compose de deux sous-systèmes : le système sympathique (parfois appelé orthosympathique) et le système parasympathique (aussi appelé système vagal). Le système sympathique, c’est en quelque sorte la pédale d’accélérateur de notre corps ; le système parasympathique, c’est la pédale de frein. En effet, pour assurer son équilibre et sa survie, le corps a besoin à certains moments d’accélérer certaines fonctions tandis qu’à d’autres moments, il a besoin de les freiner. Par contre, il existe une loi biologique d’alternance qui règle le ballet entre les deux pans : quand le système sympathique est activé, le système vagal est inhibé et inversement. Pas question donc, pour le corps, d’accélérer et de freiner en même temps.

Deux phases antagonistes et complémentaires au service de notre équilibre
Pour mieux comprendre, observons la nature. Si un animal est confronté à un prédateur ou à un danger extérieur, il doit être très performant pour assurer sa survie, soit en luttant, soit en fuyant. Pour ce faire, son système sympathique se charge de dilater ses artères coronaires et musculaires, d’accélérer ses battements cardiaques et de dilater ses bronches pour apporter aux muscles un maximum de puissance. Des hormones comme l’adrénaline et le cortisol créent un état de stress aigu nécessaire pour aider l’animal à faire face. Par ailleurs, toutes les fonctions non nécessaires à cette lutte pour la survie vont être bloquées temporairement, pour concentrer toute l’énergie disponible vers les organes impliqués dans la lutte et dans la fuite  : sa digestion se ralentit, son tractus intestinal s’arrête, la surface de sa peau se refroidit… On comprend d’ailleurs mieux pourquoi les Chinois qualifient cette phase sympathicotonique de phase froide.
Autrement dit, tant que le danger n’est pas écarté, notre corps reste en surrégime. Tant que le « problème » n’est pas résolu, pas question de dormir, de s’alourdir en mangeant, de sortir nos poubelles ou de perdre de l’énergie en chauffant la périphérie du corps…
Par contre, une fois le danger écarté, une fois le problème résolu, le système nerveux autonome active immédiatement son autre composante, le système parasympathique. Dès cet instant, le cœur ralentit, les artères coronaires et musculaires se contractent et l’acétylcholine prend le relais de l’adrénaline et du cortisol. Pour retrouver complètement l’équilibre, les sécrétions du système digestif reprennent, le tractus intestinal se remet en route, et une sensation de chaleur intense se manifeste à la surface du corps. Cette phase parasympathicotonique correspond à ce que les Chinois appelaient la phase chaude. C’est à ce moment-là que se manifeste en nous le besoin de nous reposer, de récupérer, de dormir. Après le combat, il est nécessaire que le guerrier se repose.

La raison d’être de la fatigue et du repos
Dans ses travaux, le docteur Hamer a donné une place centrale à ces notions de sympathicotonie et de parasympathicotonie (qu’il nomme vagotonie, parce que c’est le nerf vague qui est impliqué dans la régulation végétative de cette phase). Pour lui, c’est à partir d’un choc brutal que tout notre corps se met en stress. C’est pendant cette phase que se développent silencieusement nos maladies, nos tumeurs, nos pathologies. Et à part le stress ressenti, la perte de sommeil et d’appétit, aucun signe ne peut nous alerter de l’éloignement de notre équilibre. Contrairement aux animaux, cette phase de sympathicotonie peut durer des semaines, des mois ou des années. Une fois que nous trouvons enfin une solution, notre corps bascule instantanément en phase de vagotonie, avec tout son cortège de symptômes tels que je les ai décrits plus haut.
Cette deuxième phase a pour objectif la récupération, la régénération, la réparation, le rééquilibrage. Pour atteindre cet objectif, une condition absolument nécessaire s’impose : SE REPOSER. Sans aucun compromis. Faire ce que tous les animaux sauvages font lorsqu’ils ont combattu ou lorsqu’ils ont été blessés : se coucher dans une tanière ou dans un fourré, et attendre patiemment que les lésions se réparent. Si nous ne faisons pas cela, si nous voulons continuer à travailler, à créer, à faire du sport, à être en activité, sans le vouloir et sans le savoir, nous stimulons à nouveau le système sympathique. Et par conséquent, nous bloquons notre système parasympathique, empêchant par là même tout processus de guérison de s’accomplir…
Finalement, mon vieux médecin de famille avait bien raison à l’époque en me conseillant le repos ! Saurons-nous nous inspirer de cette sagesse que les animaux sauvages n’ont pas perdue ? Et comment mettre en œuvre les conditions favorables à ce repos régénérateur : c’est ce que nous verrons le mois prochain".

(extrait de http://jean-jacques-crevecoeur.com/index.php?option=com_content&view=article&id=432:neosante07&catid=66:corps&Itemid=100)